REVENIR DU VIETNAM
avec une seule envie : peindre les tabourets, seuls, en nombre,
Longtemps, j’ai travaillé sur ce thème, sur ces tabourets que l’on retrouve partout, sur les marchés, dans les maisons, au coin des rues, à la campagne, à la montagne… L’objet est omniprésent. Les œuvres sont et resteront aussi omniprésentes dans mon cœur.
Pour moi, il parle du dépouillement, de la multitude mais aussi de la présence, de l’absence. De la foule, celle qui protège, de la solitude aussi, solitude de chacun.